Comité Catholique Contre la Faim et pour le Développement

Bonne année du Timor
Cliquer sur la photo pour l'agrandir.
Joao Pinto, du Timor oriental, partenaire CCFD venu
rencontrer les Majolans lors de la célébration des rameaux 2010 au centre Jean
XXIII, remercie les donateurs et souhaite à tous les majolans une
excellente année 2012.
(Collégialité des
mouvements d'action catholique et Services d'Église)
Agir pour plus de
solidarité !
Le
CCFD est la première
ONG française dans le domaine du développement (réseau de 15.000 animateurs
bénévoles). Pour que les choses puissent vraiment changer, les mentalités
doivent évoluer.
L’exposition de mai 2006 « L’eau à partager et à protéger » a permis à des enfants de classes de primaire de découvrir qu’ils pouvaient être acteurs en ce domaine.
Les actions d’information et de sensibilisation, ici, aident à soutenir les projets menés avec les partenaires du Sud, de l’Est.
Le CCFD est une
association reconnue d'utilité publique, et placée sous le patronage des Evêques
de France.
Le temps de carême est un temps privilégié pour la prière et pour la collecte de dons ; rappelons que plus de 80% des 500 projets soutenus chaque année sont exclusivement financés par les dons.
En 2006 le
projet proposé pour le secteur était situé à Podor,
au Sénégal.
Contact sur Meyzieu :
Dominique et Evelyne Didenot
Tél. 04 78 31 05 34
Contacter Dominique Didenot
Comité
CCFD du Rhône

Le projet Podor du CCFD
Cette année nous continuons à soutenir le projet de PODOR, ville au nord du Sénégal, et située sur le fleuve Sénégal. Il y a 10 ans déjà le CCFD avait monté un plan d’urgence suite à une famine car se nourrir est un besoin vital !
Aujourd’hui la famine a disparu grâce à la pêche dans le fleuve et aux cultures vivrières ( riz et tomates) dans des parcelles de terre ; grâce aussi à l’eau potable des puits creusés.
Le projet évolue de plusieurs façons :
- Formation aux techniques de conservation des poissons ;
- Artisanat en couture et peinture pour les femmes ;
- Sur le plan médical : lutte contre le paludisme, maladie très
présente et forte cause de mortalité,
.....limitation des naissances pour les femmes ;
- Aide à la formation professionnelle pour les jeunes filles peu scolarisées avec une association propre à Podor.
Le CCFD travaille toujours en partenariat avec des associations locales qui initient le projet en fonction des besoins des villages ou des communautés.
Un grand merci à tous celles et ceux qui soutiennent ces projets.
Tsunami : 2 ans après.
Le CCFD a recueilli 3.200.000 euros, dont, grâce à votre générosité 2.397.413
€ de dons particuliers : le CCFD vous en remercie, au nom des partenaires
locaux, touchés par la catastrophe.
Le CCFD s’est engagé à assurer une juste distribution des aides, et à impliquer
les acteurs locaux dans la reconstruction de leur propre pays.
Comment ?
De janvier à mars 2005, l’aide d’urgence : vivres, vêtements, logements
provisoires ...
De mars 2005 à juillet 2006, les programmes de réhabilitation :
relance des activités économiques, accès aux soins, éducation, reconstruction de
la vie locale…
Depuis juillet 2006, les actions de développement : construction
de logements permanents, lancement d’activités génératrices de revenus.
A ce jour 80% des sommes récoltées ont été utilisées.
De nombreuses victimes demeurent encore dans des situations précaires ; nos partenaires
continuent d’agir à leur cotés.
Le CCFD a fait l’objet de contrôles de la part du Comité de la Charte, de
la Cour des Comptes et de la Commission des Affaires Etrangères de l’Assemblée Nationale.
La Cour des Comptes confirme la bonne gestion du CCFD dans la bonne utilisation
de ses fonds recueillis pour les victimes du Tsunami.
Rappel : L’Etat français et les dons :
La Cour des Comptes souligne également la générosité et l’efficacité de l’Etat,
qui a affecté :
- de manière directe (via l’armée notamment)
- de manière indirecte (en particulier par les réductions d’impôt dont bénéficient
les dons)
337 millions d’euros d’aide aux victimes.
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Lire d'autres informations sur le site du CCFD
L’encyclique POPULORUM PROGRESSIO a déjà 40 ans.
Le pape Paul VI, dans sa présentation du 26 mars 1967, insistait : son encyclique
sur le Développement des peuples était un appel concret
à l’espérance.
L’opinion publique, non sans raison, a surtout retenu de Populorum Progressio son
épilogue pathétique, titré « le Développement est le nouveau
nom de la paix ».
Nous pouvons aussi retenir :
« Combattre la misère et lutter contre l’injustice, c’est promouvoir, avec
le mieux-être, le progrès humain et spirituel de tous, et donc le bien commun de
l’humanité. »
En relisant aujourd’hui cette encyclique, nous constatons que le développement humain
et spirituel est, avec le mieux-être, une exigence totale et un enjeu mondial.
Les peuples sont au cœur du développement.
Le développement, affirme Paul VI, doit être intégral,
c’est à dire, selon la formule désormais célèbre, promouvoir tout homme
et tout l’homme.
Ces mots traduisent l’aspiration profonde de l’humanité.
La croissance est un problème de qualité de vie ; il s’agit d’une croissance d’humanité,
d’humanisation.
L’encyclique est sévère à l’égard d’un développement réduit à la cupidité :
« L’avarice des personnes, des familles et des nations peut gagner les moins
pourvus comme les plus riches et susciter chez les uns et les autres un matérialisme
étouffant. »
40 ans après : La notion de tiers-monde s’efface (on parle plus souvent de populations
du « sud »), mais pas la réalité qu’elle désignait.
L’ordre juridique universellement reconnu est encore à construire. (Paul VI pensait
aux organisations multilatérales et internationales)
Le monde, pour s’humaniser, a besoin de structures qui font référence aux valeurs
éthiques. Aucun marché équitable, aucune pratique de justice sociale, ne sont possibles
sans régulation.
L’encyclique met en perspective l’avenir des hommes. Face au désarroi démoralisant
ou face à la force fanatisée, deux tentations auxquelles nous sommes confrontés
en permanence, Paul VI envisageait une mutation pacifique et raisonnable, la société
solidaire.
Le monde actuel n’en est pas là. La parole, et la conviction de Paul VI sont-elles
pour le futur ?
D’après le document de
Carême 2007 CCFD
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L'équipe CCFD de Meyzieu - Jonage vous invite
au Marché de Noël : Pour un commerce plus équitable
qui aura lieu le 8 décembre 2007 de 9h à 17h
Maison des Associations (ancienne Mairie de Meyzieu)
Entrée sur la place Jean Monnet.
Ce Marché de Noël est organisé par l'équipe CCFD ; une exposition vous présentera la démarche du commerce équitable ; vous pourrez échanger autour d'un café.
Les associations de solidarité et/ou de soutien au commerce équitable seront présentes ou représentées :
Artisanat SEL (Lyon) : artisanat
Artisans du Monde (Lyon) : Produits alimentaires, vêtements et artisanat
Entraide Majolane (Meyzieu)
Projet de l'île aux Nattes à Madagascar : broderies malgaches
Fleur d'oranger (Vaulx-en-Velin) proposera des parts de couscous à emporter
NDAJE/Rencontre (Meyzieu) animation musicale et vente d'objets fabriqués au Sénégal (Kaolack)
Unicef (Lyon) : cartes de vœux et calendriers.
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Nicaragua : Projet 2008.
Cette année l’équipe CCFD vous propose de soutenir un projet de développement au Nicaragua.
C’est le pays qui compte le plus de mal nourris du continent américain, soit 27% de la population.
La FENACOOP (fédération nationale de coopératives) a pour mission d’améliorer, par la promotion d’activités économiques rentables, la qualité de vie des familles de petits et moyens producteurs constitués en coopératives.
Ces producteurs reçoivent une formation technique et commerciale, un renforcement de la gestion et un appui financier.
622 coopératives agricoles et agro-industrielles présentes dans tout le pays, bénéficient de ce projet.
En 2003 deux jeunes nicaraguayens ont reçu, en France, une formation à la production laitière, financée par le CCFD.
A l’avance nous vous remercions pour l’aide que vous apportez à ce peuple.
Quelques liens :
Nicaragua. Libéralisme, à quel prix ?
Nicaragua. Déracinements.
Le PARTAGE est notre AVENIR.
Le CCFD nous invite, aujourd’hui, et demain, à un geste de partage avec les plus démunis.
Le CCFD nous appelle aussi à donner du temps.
Des femmes et des hommes des pays les plus pauvres réalisent leurs projets grâce à votre soutien financier.
C’est cela la fraternité universelle.
Le CCFD soutient cette année 580 projets dans 70 pays. L’équipe de Meyzieu – Jonage a retenu un projet au Nicaragua : il s’agit, en particulier de soutenir la création d’un réseau de coopératives dans un pays, où les petits paysans ont beaucoup de mal à vivre …. dans certains cas à survivre, ce qui explique de nombreuses migrations vers les villes.
Le développement n’est sûrement pas une accumulation de biens matériels ; la joie rayonne sur les visages quand les greniers sont garnis, que le travail permet une juste rémunération, que les enfants peuvent aller à l’école.
Recevons cette joie lumineuse dont nous avons tant besoin et donnons à ces enfants, à ces femmes et à ces hommes notre attention et l’amour que nous recevons du Père.
Nicaragua : Projet 2008.
Cette année l’équipe CCFD vous propose de soutenir un projet de développement au Nicaragua.
C’est le pays qui compte le plus de mal nourris du continent américain, soit 27% de la population.
La FENACOOP (fédération nationale de coopératives) a pour mission d’améliorer, par la promotion d’activités économiques rentables, la qualité de vie des familles de petits et moyens producteurs constitués en coopératives.
Ces producteurs reçoivent une formation technique et commerciale, un renforcement de la gestion et un appui financier.
622 coopératives agricoles et agro-industrielles présentes dans tout le pays, bénéficient de ce projet.
En 2003 deux jeunes nicaraguayens ont reçu, en France, une formation à la production laitière, financée par le CCFD.
A l’avance nous vous remercions pour l’aide que vous apportez à ce peuple.
Quelques liens :
Nicaragua. Libéralisme, à quel prix ?
Nicaragua. Déracinements.