28 janvier 2012 : la place de Dieu dans nos vies.
Avant d’accepter une responsabilité supplémentaire, ou autre, s’interroger pour chercher si quelqu’un, qui n’a pas été sollicité, ne pourrait pas répondre à cette demande.
Au cours de ce partage de l’évangile, on se sent libéré en disant nos faits de vie personnels que l’on ne peut dire qu’en VEA.
Essayer de porter sur les autres le regard de Jésus.
Jésus, quelqu’un de vrai, pas un diseur de bonne aventure.
Viens, et tu verras, et tu entendras,
Soyons attentifs aux regards échangés.
Talent : don et ou responsabilité, charge confiée.
Soyons ouverts aux autres, faisons confiance, à l’image des disciples de Jésus.
Chercher le regard de Jésus dans le regard de notre prochain que nous soyons consacrés ou laïcs
Dans le regard que je porte sur l’autre Dieu est présent.
Ne pas imposer notre point de vue aux autres par notre intransigeance.
Il faut aller vers les autres et surtout il faut faire autre, (car tous les jours des non chrétiens posent aussi leur regard sur nous comme Jésus).
Les appels des autres sont variés. C’est toujours par les autres que Jésus fait appel à nous.
La foi vient de Dieu, elle est un don divin. Chacun de nous n’avons aucune action dans ce domaine.
Jésus nous invite à la liberté de le suivre. A nous de trouver où il veut nous conduire.
Il faut faire appel aux talents des autres avec amour, sans en abuser, sans leur faire perdre leur temps, il faut utiliser nos talents.
« Je ne crois pas au hasard » : André, Simon, Philippe, étaient-ils là par hasard ? Est-ce que nous sommes ici, vraiment par hasard aujourd’hui ? Lorsque demain, je ferai une rencontre, est-ce que cela sera par hasard ? Quel regard je poserai ? Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito : et nous sommes enfants de Dieu.
Besoin de ces rencontres, échanger à plusieurs, avoir une confiance totale pour se libérer sous le regard de l’autre. Connaître l’autre et accepter son regard. Besoin aussi de connaître plus l’évangile et de trouver la relation avec notre vie.
Dans l’évangile selon saint Jean, il y a l’importance du regard. Le regard à la manière de Jésus, on voudrait l’avoir pour agrandir nos équipes.
L’appel particulier, l’appel de l’autre nous envoie vers les autres.
Un copain a porté un regard sur moi. Il était différent des autres. Nous avons beaucoup discuté. Il m’a mis sur le chemin du baptême.
Au cours de notre partage, je pense qu’il faut retrouver l’humilité envers les autres, ne pas écraser les autres par notre savoir, rester tout simplement dans l’amour des uns pour les autres.
J’ai toujours ressenti une soif de Dieu qui me poussait à aller toute seule à la messe de 7h du matin. Et j’étais bien.
Notre chemin de chrétien est jalonné de petites lumières d’espoir.
Le partage avec les plus pauvres nous rapproche de l’évangile et nous donne une sensibilité et une spiritualité nouvelle. Ceci grâce à l’appel d’autres personnes dans notre vie.
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Avant d’accepter une responsabilité supplémentaire, ou autre, s’interroger pour chercher si quelqu’un, qui n’a pas été sollicité, ne pourrait pas répondre à cette demande. |
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Au cours de ce partage de l’évangile, on se sent libéré en disant nos faits de vie personnels que l’on ne peut dire qu’en VEA. |
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Essayer de porter sur les autres le regard de Jésus. Jésus, quelqu’un de vrai, pas un diseur de bonne aventure. Viens, et tu verras, et tu entendras, Soyons attentifs aux regards échangés. Talent : don et ou responsabilité, charge confiée. Soyons ouverts aux autres, faisons confiance, à l’image des disciples de Jésus.
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Chercher le regard de Jésus dans le regard de notre prochain que nous soyons consacrés ou laïcs. |
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Dans le regard que je porte sur l’autre Dieu est présent. |
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Ne pas imposer notre point de vue aux autres par notre intransigeance. |
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Il faut aller vers les autres et surtout il faut faire autre, (car tous les jours des non chrétiens posent aussi leur regard sur nous comme Jésus). |
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Les appels des autres sont variés. C’est toujours par les autres que Jésus fait appel à nous. |
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La foi vient de Dieu, elle est un don divin. Chacun de nous n’avons aucune action dans ce domaine. |
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Jésus nous invite à la liberté de le suivre. A nous de trouver où il veut nous conduire. Il faut faire appel aux talents des autres avec amour, sans en abuser, sans leur faire perdre leur temps, il faut utiliser nos talents. « Je ne crois pas au hasard » : André, Simon, Philippe, étaient-ils là par hasard ? Est-ce que nous sommes ici, vraiment par hasard aujourd’hui ? Lorsque demain, je ferai une rencontre, est-ce que cela sera par hasard ? Quel regard je poserai ? Le hasard, c’est Dieu qui se promène incognito : et nous sommes enfants de Dieu. |
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Besoin de ces rencontres, échanger à plusieurs, avoir une confiance totale pour se libérer sous le regard de l’autre. Connaître l’autre et accepter son regard. Besoin aussi de connaître plus l’évangile et de trouver la relation avec notre vie. Dans l’évangile selon saint Jean, il y a l’importance du regard. Le regard à la manière de Jésus, on voudrait l’avoir pour agrandir nos équipes. L’appel particulier, l’appel de l’autre nous envoie vers les autres. Un copain a porté un regard sur moi. Il était différent des autres. Nous avons beaucoup discuté. Il m’a mis sur le chemin du baptême. Au cours de notre partage, je pense qu’il faut retrouver l’humilité envers les autres, ne pas écraser les autres par notre savoir, rester tout simplement dans l’amour des uns pour les autres. J’ai toujours ressenti une soif de Dieu qui me poussait à aller toute seule à la messe de 7h du matin. Et j’étais bien. Notre chemin de chrétien est jalonné de petites lumières d’espoir. Le partage avec les plus pauvres nous rapproche de l’évangile et nous donne une sensibilité et une spiritualité nouvelle. Ceci grâce à l’appel d’autres personnes dans notre vie.
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